Genève, Suisse, 11 juin 2025 — Sous les lustres opulents du Palais des Nations, la 113e Conférence internationale du Travail s’est ouverte le 2 juin 2025, réunissant dignitaires, émigrés gouvernementaux, porte-paroles des employeurs et défenseurs des travailleurs de 187 pays. Orchestrée par l’Organisation internationale du Travail (OIT), cette thématique, qui s’achèvera le 13 juin, incarne des aspirations universelles pour un travail plus noble, sûr et équitable. Le Niger, accompagné de ses alliés Burkina Faso et Mali au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES), élève sa voix pour façonner un avenir où le travail rime avec dignité.
La Grande Conférence de Genève : défis et solutions pour le monde du travail
Au cœur de Genève, où le multilatéralisme s’entrelace avec les pragmatismes nationaux, trois enjeux majeurs émergent lors de cette session.
1. La protection des travailleurs contre les aléas biologiques. Les récents fléaux sanitaires soulèvent des inquiétudes toujours vives. L’OIT vise à établir des remparts normatifs pour contrer ces risques, offrant ainsi aux artisans, ouvriers et employés un meilleur soutien.
2. L’économie des plateformes. Ce secteur, en proie à l’instabilité malgré des promesses, appelle à un renouvellement audacieux. Les délégués analysent des pistes pour instaurer des conditions de travail dignes où la liberté ne rime pas avec précarité.
3. La formalisation de l’économie informelle. Ce défi, particulièrement crucial pour le Sahel où une large part des travailleurs est informelle, requiert l’exploration de nouvelles stratégies pour transformer ces emplois en éléments de prospérité durable.
Le serment sahélien : L’AES unie face aux tourments du travail
En marge de cette conférence, les délégations du Niger, du Burkina Faso et du Mali ont tenu un sommet confidentiel, empreint de gravité. Ce trio, né des tourments régionaux, a choisi cette plateforme pour renforcer ses liens et élaborer des politiques du travail issues de la solidarité.
Cette concertation représente un engagement fort face aux défis du Sahel. L’AES vise à constituer une réponse collective, refaçonnant la souveraineté comme un pilier de développement, tout en aspirant à offrir à leurs peuples un avenir où le travail devient un vecteur d’élévation.
Vers un avenir de justice sociale : le Sahel et les perspectives de l’OIT
La 113e Conférence Internationale du Travail se présente comme une lueur d’espoir pour le Niger, le Burkina Faso et le Mali. Les résolutions issues de Genève pourraient ouvrir de nouvelles opportunités, redéfinissant le travail comme un droit reconnu. L’Alliance des États du Sahel, par sa résilience et sa solidarité, pourrait inspirer d’autres nations à suivre son exemple, transformant le travail en symbole d’une renaissance collective.